Le contrat bdsm, pourquoi est-ce important d’en faire un ?

Quelle que soit la pratique sexuelle, la communication est la base. Dans le cas des pratiques BDSM, cette règle prévaut encore plus. Un contrat de soumission est établi au préalable entre le maître ou la maîtresse et son esclave avant même de commencer la relation. Mais pourquoi la nécessité d’un tel contrat BDSM ? Réponse ci-dessous.

Un contrat BDSM pour établir clairement les règles

Étant donné la nature des relations en BDSM, les règles de sécurité et la communication sont deux éléments importants pour garantir l’atteinte du plaisir des deux parties.

Pour ce faire, les personnes pratiquant le BDSM signent un contrat de soumission, comme celui dans 50 nuances de Grey. Le but ? Fixer les règles du jeu de manière transparente. Il peut s’agir d’un accord écrit ou oral, en fonction de ce qui est convenu entre les deux personnes.

Le contrat BDSM définit les règles régissant la relation dominant/esclave. Des pratiques autorisées aux limites, en passant par les plus petits détails… Le contrat détaille tout.

  • Le sexe est-il autorisé ?
  • L’humiliation est-elle autorisée ?
  • Où réaliserez-vous vos ébats ?

Un contrat BDSM pour établir les rôles

Les contrats BDSM servent également à établir de manière précise les rôles de chaque personne dans la relation, que ce soit le maître ou la maîtresse.

Les droits et devoirs du maître ou de la maîtresse

Droit d’isolation, droit de modification corporelle… Le maître ou la maîtresse a entièrement le pouvoir sur son esclave, dans les limites établies dans les contrats. En tant que dominant, cette personne prendra les rênes du jeu. Il aura le total contrôle sur le physique, l’intellect et le sexe de son esclave.

Le maître ou la maîtresse peut imposer toutes les pratiques sexuelles ou seulement certaines (toujours selon les limites fixées dans les contrats) et exercer des punitions et des humiliations sur son esclave. Le contrat BDSM détaille tous ces éléments.

Les droits et devoirs de l’esclave sexuel

En tant que soumis, il doit suivre ce que le dominant lui impose selon ce qui a été convenu dans le contrat BDSM. Par pur plaisir, l’esclave se met donc corps et âme à la disposition de son maître ou de sa maîtresse. Ceci dit, il ou elle a également le droit à un safe word pour signaler un dépassement des limites.

Un contrat BDSM pour fixer les limites de la soumise

Même si les pratiques BDSM consistent à prendre du plaisir sous la douleur et l’humiliation, des limites doivent être fixées. Outre la définition des pratiques autorisées, le contrat BDSM détaillera les limites à ne pas franchir durant la relation dominant/soumis.

Les dominants doivent être en mesure de respecter ces règles inscrites dans les contrats.

Un contrat BDSM pour mettre en lumière les punitions autorisées

Une relation BDSM inclut des punitions lorsque l’esclave désobéit à son maître ou à sa maîtresse. Les contrats BDSM établissent un barème des punitions pour chaque désobéissance ou erreur commise par la personne soumise.

Un contrat BDSM pour clarifier les objectifs de la relation

Toute relation BDSM a des objectifs précis. Chaque personne signataire du contrat BDSM est à la recherche de plaisir. Ainsi, le contrat BDSM mettra en lumière les désirs de chaque personne. La vie sexuelle du soumis durant la relation lorsque le contrat BDSM établi est à la fois à court et long terme.

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